Las “Maras” saltan en las portadas de los medios franceses
Les maras, un risque sécuritaire et social non maîtrisé
Le terme mara est le plus souvent utilisé pour nommer les « gangs de jeunes » en zone urbaine, de même que le mot pandilla. Les deux maras les plus connues en raison de leur taille et de leur ancienneté sont la Mara 18 et la MS-13. La Mara 18, en référence à la 18e Rue de Los Angeles, était initialement composée de Mexicains. Sa rivale, la MS-13, ou Mara Salvatrucha 13, était formée principalement par des Salvadoriens. Son nom ferait référence à une espèce de truite et à la 13e Rue de Los Angeles.
Cela fait une vingtaine d’années que les maras sont apparues. Ces bandes auraient été formées par les fils d’immigrés centraméricains ayant fui les guerres civiles et s’étant réfugiés dans les villes californiennes. L’irruption des maras en Amérique centrale remonte à 1992. En effet, à la suite des émeutes de Los Angeles, ont été mises en place des lois sévères visant à l’emprisonnement et à l’expulsion des mareros. Ainsi de 2000 à 2004, 20 000 criminels sont renvoyés des Etats-Unis vers l’Amérique centrale. Là, leur intégration s’effectue au sein de leur gang d’appartenance. Il est difficile d’estimer le nombre de mareros aujourd’hui, les chiffres variant en fonction des intérêts des parties prenantes. Il est estimé à près de 100.000, les trois principaux pays touchés étant le Honduras, le Salvador et le Guatemala.
La violence est le ciment des maras. Commettre des assassinats, subir des épreuves physiques ou sexuelles sont des conditions pour s’y intégrer. Leurs actes n’ont pas vocation à faire passer un message politique. Majoritairement, ce sont des crimes entre bandes en quête du titre de mara dominante. Les activités des maras se diversifient et sont de plus en plus violentes : contrôle de quartiers (15 municipalités sont touchées au Salvador), vols, vente de drogue et d’armes, trafic de personnes sans-papiers. Les maras sont un phénomène qui reste pour le moment urbain. Très organisées, elles fonctionnent en cellules (clicas) avec un commandement centralisé, ce qui les distingue des classiques pandillas juveniles dont le champ d’action ne dépasse pas la géographie d’un quartier. De plus, à la différence des pandillas, les membres des maras sont en général complètement coupés de la société, notamment du monde du travail et de leur famille.
L’âge moyen pour un marero est de 19 ans et pour les chefs de 30 à 40 ans. L’entrée dans le groupe semble s’effectuer entre 9 et 12 ans. Une des caractéristiques des maras est de porter des tatouages sur tout le corps, comme signe d’appartenance et de vaillance. Ces dernières années, les maras ont évolué pour faire face aux politiques répressives dites de mano dura. Par exemple, les membres portent moins souvent des tatouages visibles et les nouveaux venus se recrutent de plus en plus jeunes, d’autres, plus âgés, ont parfois reçu une éducation secondaire voire universitaire, des jeunes filles aussi sont recrutées. Le phénomène a pris une telle ampleur que les gouvernements concernés engagent maintenant des politiques coordonnées, plus souvent répressives que préventives, pour y faire face.
Dans un publication parue dans la Revue Interdiscipinaire de Travaux sur les Amériques, les auteurs se proposent d’expliquer comment est appréhendé le phénomène des maras par les acteurs en utilisant la notion de risque. Le phénomène des maras entre dans la catégorie des risques urbains et sociaux. Le risque social est difficile à circonscrire puisqu’il peut supposer un risque ayant pour origine un phénomène social mais également un risque mettant en danger la société, il peut renvoyer à la fois à la cause et à la conséquence du phénomène étudié. Les maras sont-elles le produit d’une insécurité préexistante ? ou est-ce que ce sont elles qui créent l’insécurité ? Cette dichotomie est primordiale dans l’analyse des maras.
Les différences de perception du risque lié aux maras et les politiques publiques correspondantes sont analysées en comparant deux pays, les Etats-Unis et le Honduras. Si les Etats-Unis semblent se limiter à un traitement sécuritaire du phénomène, le Honduras a mieux pris conscience de la nécessité de faire de la prévention son axe de lutte privilégié.
Publicacado en varios medios franceses - Fuente: Agora Vox Le média Citoyen 11/12/2009
Le terme mara est le plus souvent utilisé pour nommer les « gangs de jeunes » en zone urbaine, de même que le mot pandilla. Les deux maras les plus connues en raison de leur taille et de leur ancienneté sont la Mara 18 et la MS-13. La Mara 18, en référence à la 18e Rue de Los Angeles, était initialement composée de Mexicains. Sa rivale, la MS-13, ou Mara Salvatrucha 13, était formée principalement par des Salvadoriens. Son nom ferait référence à une espèce de truite et à la 13e Rue de Los Angeles.
Cela fait une vingtaine d’années que les maras sont apparues. Ces bandes auraient été formées par les fils d’immigrés centraméricains ayant fui les guerres civiles et s’étant réfugiés dans les villes californiennes. L’irruption des maras en Amérique centrale remonte à 1992. En effet, à la suite des émeutes de Los Angeles, ont été mises en place des lois sévères visant à l’emprisonnement et à l’expulsion des mareros. Ainsi de 2000 à 2004, 20 000 criminels sont renvoyés des Etats-Unis vers l’Amérique centrale. Là, leur intégration s’effectue au sein de leur gang d’appartenance. Il est difficile d’estimer le nombre de mareros aujourd’hui, les chiffres variant en fonction des intérêts des parties prenantes. Il est estimé à près de 100.000, les trois principaux pays touchés étant le Honduras, le Salvador et le Guatemala.
La violence est le ciment des maras. Commettre des assassinats, subir des épreuves physiques ou sexuelles sont des conditions pour s’y intégrer. Leurs actes n’ont pas vocation à faire passer un message politique. Majoritairement, ce sont des crimes entre bandes en quête du titre de mara dominante. Les activités des maras se diversifient et sont de plus en plus violentes : contrôle de quartiers (15 municipalités sont touchées au Salvador), vols, vente de drogue et d’armes, trafic de personnes sans-papiers. Les maras sont un phénomène qui reste pour le moment urbain. Très organisées, elles fonctionnent en cellules (clicas) avec un commandement centralisé, ce qui les distingue des classiques pandillas juveniles dont le champ d’action ne dépasse pas la géographie d’un quartier. De plus, à la différence des pandillas, les membres des maras sont en général complètement coupés de la société, notamment du monde du travail et de leur famille.
L’âge moyen pour un marero est de 19 ans et pour les chefs de 30 à 40 ans. L’entrée dans le groupe semble s’effectuer entre 9 et 12 ans. Une des caractéristiques des maras est de porter des tatouages sur tout le corps, comme signe d’appartenance et de vaillance. Ces dernières années, les maras ont évolué pour faire face aux politiques répressives dites de mano dura. Par exemple, les membres portent moins souvent des tatouages visibles et les nouveaux venus se recrutent de plus en plus jeunes, d’autres, plus âgés, ont parfois reçu une éducation secondaire voire universitaire, des jeunes filles aussi sont recrutées. Le phénomène a pris une telle ampleur que les gouvernements concernés engagent maintenant des politiques coordonnées, plus souvent répressives que préventives, pour y faire face.
Dans un publication parue dans la Revue Interdiscipinaire de Travaux sur les Amériques, les auteurs se proposent d’expliquer comment est appréhendé le phénomène des maras par les acteurs en utilisant la notion de risque. Le phénomène des maras entre dans la catégorie des risques urbains et sociaux. Le risque social est difficile à circonscrire puisqu’il peut supposer un risque ayant pour origine un phénomène social mais également un risque mettant en danger la société, il peut renvoyer à la fois à la cause et à la conséquence du phénomène étudié. Les maras sont-elles le produit d’une insécurité préexistante ? ou est-ce que ce sont elles qui créent l’insécurité ? Cette dichotomie est primordiale dans l’analyse des maras.
Les différences de perception du risque lié aux maras et les politiques publiques correspondantes sont analysées en comparant deux pays, les Etats-Unis et le Honduras. Si les Etats-Unis semblent se limiter à un traitement sécuritaire du phénomène, le Honduras a mieux pris conscience de la nécessité de faire de la prévention son axe de lutte privilégié.
Publicacado en varios medios franceses - Fuente: Agora Vox Le média Citoyen 11/12/2009
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Las maras, un riesgo para la seguridad social y descontrolada
La palabra mara es más a menudo utilizado para el nombre de "pandillas juveniles en las zonas urbanas, como la palabra pandilla. Las dos maras más conocidas debido a su tamaño y la edad son la Mara 18 y MS-13. La Mara 18, en referencia a la 18th Street Los Angeles, fue originalmente compuesto de los mexicanos. Su rival, MS-13 o Mara Salvatrucha 13, se formó principalmente por los salvadoreños. Su nombre hace referencia a una especie de trucha y 13th Street en Los Ángeles.
Se ha veinte años que las maras han surgido. Estas bandas se formaron por el hijo de inmigrantes centroamericanos que huyeron de las guerras civiles y buscaron refugio en las ciudades en California. La explosión de las maras en América Central desde 1992. De hecho, a raíz de los disturbios en Los Ángeles, se pusieron en marcha estrictas leyes de la prisión y la expulsión de los mareros. Por lo tanto, a partir de 2000 a 2004, 20 000 delincuentes se desvían de los EE.UU. a América Central. En este caso, su integración se lleva a cabo dentro de su afiliación de pandillas. Es difícil estimar el número de mareros de hoy, las cifras varían en función de los intereses de las partes interesadas. Se calcula en casi 100.000, los tres principales países afectados son Honduras, El Salvador y Guatemala.
La violencia es el cemento de las maras. Cometer un asesinato, sexual o de sufrir pruebas físicas son las condiciones de ajuste. Sus acciones no están destinadas a enviar un mensaje político. Mayormente, estos son crímenes entre pandillas en busca de pruebas de mara dominante. Las maras están diversificando cada vez más violentas y control de los vecindarios (15 municipios se ven afectados en El Salvador), el robo, la venta de drogas y de armas, el contrabando de personas indocumentadas. Las maras son un fenómeno que sigue siendo por el momento urbana. Muy organizado, que operan en las células (clics) con un mando centralizado, lo que las distingue de las pandillas juveniles convencional, cuyo alcance no excede de la geografía de un barrio. Además, a diferencia de las pandillas, las maras son por lo general completamente aislado de la sociedad, incluido el mundo del trabajo y de sus familias.
El promedio de edad para un marero es de 19 años y para los jefes de 30 a 40 años. La entrada en el grupo parece estar entre el 9 y 12 años. Una de las características de las maras es llevar tatuajes en todo el cuerpo como un signo de pertenencia y valor. En los últimos años, las maras han evolucionado para hacer frente a las políticas represivas llama mano dura. Por ejemplo, los miembros tienen a menudo menos visibles tatuajes y los recién llegados para contratar a más jóvenes, otros mayores, a veces han recibido una secundaria o universitaria, las niñas también son reclutadas. El fenómeno ha tomado tal medida en que los gobiernos de que se trate ahora de políticas coordinadas, a menudo más represivas que preventivas, para tratar con él.
En una publicación publicada en el Diario Interdiscipinaire Obras en las Américas, los autores han propuesto para explicar cómo el fenómeno es aprehendido por las maras jugadores utilizando el concepto de riesgo. El fenómeno de las maras se inscribe en la categoría de zonas urbanas y los riesgos sociales. El riesgo social es difícil de definir, ya que puede asumir un riesgo que se derivan de un fenómeno social, sino también un riesgo que ponen en peligro la sociedad, que puede referirse a la vez causa y consecuencia del fenómeno objeto de estudio. Las maras son el producto de un pre-existentes de inseguridad? ¿O es que crean inseguridad? Esta dicotomía es primordial en el análisis de las maras.
Las diferencias en la percepción del riesgo de las maras y las políticas públicas, se analizan mediante la comparación de dos países, los Estados Unidos y Honduras. Si los Estados Unidos parecen estar confinados a un tratamiento seguro del fenómeno, Honduras tiene más conciencia de la necesidad de impedir que su eje de lucha privilegiado.
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Maras
no es de alarmarse! porque aunque en italia han pasado semerendos reportajes de mareros y asesinos de de lideres catolicos!he visto al menos ocho reportajes!
ReplyDeletemediaset grupo de cadenas televisivas berlusconianas ha estado siempre en primera fila sobre estos hechos orrendos en nuestro querido pais! a mi me da verguenza a veces decir que soy salvadoreno aqui en europa si dices que eres de El Salvador rapido te conectan con estas orripilantes realidades de nuestro pais menos mal que algunos son ignorantes cuando les digo que soy de El Salvador ellos se refieren a salvador do bahia brasil! sera dificil quitarse esa mancha gracias a los asesinos aunque nosotros sufrimos de desprestigio internacional!
Amigos de SEEM podrian traducir esto?
ReplyDeleteGracias.
TRADUCCION AL INGLES (CON ERRORES)
ReplyDeleteThe "Maras" jump on the covers of the French media
Les maras, un risque sécuritaire et social non maîtrisé Les maras, a safe risque et ne maîtrise social
Le terme mara is the most often used for Nõmme them "gangs of youths" in urban zone, le mot of that same gang. Les deux maras les plus connues en raison de leur taille et de leur ancienneté sont la Mara 18 et la MS-13. Les deux maras most known because of their size and their ancienneté are the Mara 18 and the MS-13. La Mara 18, en référence à la 18e Rue de Los Angeles, était initialement composée de Mexicains. The Mara 18, référence à la 18e Rue de Los Angeles, was initially composed of Mexicains. Sa rivale, la MS-13, ou Mara Salvatrucha 13, était formée principalement par des Salvadoriens. Sa rivale, the MS-13, or Mara Salvatrucha 13, was formée principalement par des Salvadoriens. Son nom ferait référence à une espèce de truite et à la 13e Rue de Los Angeles. Son nom ferait référence à une espèce of TRUITE et à la 13e Rue de Los Angeles.
Cela fait une vingtaine d’années que les maras sont apparues. Cela fait d'une vingtaine years that they are apparues maras. Ces bandes auraient été formées par les fils d’immigrés centraméricains ayant fui les guerres civiles et s’étant réfugiés dans les villes californiennes. Ces bandes auraient été par les formes d'immigrés fils centraméricains them I was having civil wars s'étant réfugiés et dans les villes californiennes. L’irruption des maras en Amérique centrale remonte à 1992. L'irruption des gangs in Central America dates back to 1992. En effet, à la suite des émeutes de Los Angeles, ont été mises en place des lois sévères visant à l’emprisonnement et à l’expulsion des mareros. In fact, à la suite des émeute of Los Angeles, have been introduced in place des lois severe aimed at l'emprisonnement et à l'expulsion des mareros. Ainsi de 2000 à 2004, 20 000 criminels sont renvoyés des Etats-Unis vers l’Amérique centrale. Ainsi 2000 à 2004, 20 000 criminels are renvoyés des Etats-Unis vers l'Amérique centrale. Là, leur intégration s’effectue au sein de leur gang d’appartenance. Again, s'effectue leur intégration au sein d'appartenance of their gang. Il est difficile d’estimer le nombre de mareros aujourd’hui, les chiffres variant en fonction des intérêts des parties prenantes. Il est difficile d'estimer her name mareros aujourd'hui, les chiffres variant taking into account the interests of Stakeholders. Il est estimé à près de 100.000, les trois principaux pays touchés étant le Honduras, le Salvador et le Guatemala. It is estimated to Nearly 100,000, the three main countries affected étant le Honduras, Salvador and Guatemala him.
La violence est le ciment des maras. The violence is the Ciment des gangs. Commettre des assassinats, subir des épreuves physiques ou sexuelles sont des conditions pour s’y intégrer. Commettre des assassinats, climbing physiques ou des épreuves sexual sont des conditions pour s'y integrate. Leurs actes n’ont pas vocation à faire passer un message politique. Their acts have not vocation à faire passer a political message. Majoritairement, ce sont des crimes entre bandes en quête du titre de mara dominante. Majoritairement, ce sont des crimes in Quête between bandes du titre of gang dominance. Les activités des maras se diversifient et sont de plus en plus violentes : contrôle de quartiers (15 municipalités sont touchées au Salvador), vols, vente de drogue et d’armes, trafic de personnes sans-papiers. Les activités des maras are diversifient and are increasingly violent: control of wards (15 municipalities are affected au Salvador), vols, selling drugs et d'weapons, traffic of people sans-papiers. Les maras sont un phénomène qui reste pour le moment urbain. Les maras are a phenomenon qui reste pour le moment urbain. Très organisées, elles fonctionnent en cellules (clicas) avec un commandement centralisé, ce qui les distingue des classiques pandillas juveniles dont le champ d’action ne dépasse pas la géographie d’un quartier. Very organized, they fonctionnent cells in (click) with a centralized commandement, ce qui les distinguishes des Classical youth gangs dont le champ d'action ne pas Depasse the geography d'un quartier. De plus, à la différence des pandillas, les membres des maras sont en général complètement coupés de la société, notamment du monde du travail et de leur famille. De plus, à la différence des gangs, les membres des maras are in general in society coupés complètement, notamment du monde du travail et de leur famille.
L’âge moyen pour un marero est de 19 ans et pour les chefs de 30 à 40 ans. The mean age for a marero 19 ans et est pour les chefs de 30 à 40 ans. L’entrée dans le groupe semble s’effectuer entre 9 et 12 ans. L'entrée dans le groupe semble s'effectuer between 9 and 12 years old. Une des caractéristiques des maras est de porter des tatouages sur tout le corps, comme signe d’appartenance et de vaillance. One of the characteristics of maras est des Tatouages porter sur tout le corps, comme Signe d'appartenance and vaillance. Ces dernières années, les maras ont évolué pour faire face aux politiques répressives dites de mano dura. In recent years, the maras have evolved pour faire face aux politiques répressives Dites-handed. Par exemple, les membres portent moins souvent des tatouages visibles et les nouveaux venus se recrutent de plus en plus jeunes, d’autres, plus âgés, ont parfois reçu une éducation secondaire voire universitaire, des jeunes filles aussi sont recrutées. Par example, les membres des Tatouages often bear less visible et les nouveaux venus recrutent are increasingly young, d'autres, plus âgés, have sometimes received secondary education voire universitaire, des jeunes filles sont aussi recrutées. Le phénomène a pris une telle ampleur que les gouvernements concernés engagent maintenant des politiques coordonnées, plus souvent répressives que préventives, pour y faire face. Le phenomenon has taken such an extent that governments concernés engagent maintenant des politiques coordinated, more often répressives that preventive, and pour faire face.
Dans un publication parue dans la Revue Interdiscipinaire de Travaux sur les Amériques , les auteurs se proposent d’expliquer comment est appréhendé le phénomène des maras par les acteurs en utilisant la notion de risque. In a publication paru dans la Revue Interdiscipinaire Travaux south of the Americas, we will propose d'auteurs explain how it is the phenomenon of the Maras appréhendé par les acteurs using the notion of risk. Le phénomène des maras entre dans la catégorie des risques urbains et sociaux. He was between Maras phenomenon des dans la catégorie des risques urbains et sociaux. Le risque social est difficile à circonscrire puisqu’il peut supposer un risque ayant pour origine un phénomène social mais également un risque mettant en danger la société, il peut renvoyer à la fois à la cause et à la conséquence du phénomène étudié. Le risque social est difficile à circonscrire puisqu'il can a supposed risque pour origine having a social phenomenon but also a risk putting in danger the company, it may renvoyer à la fois et à la cause à la conséquence du studied phenomenon. Les maras sont-elles le produit d’une insécurité préexistante ? Les maras sont-elles le produit d'une préexistante insecurity? ou est-ce que ce sont elles qui créent l’insécurité ? ou est-ce qui elles that ce sont l'créent insecurity? Cette dichotomie est primordiale dans l’analyse des maras. Dichotomie est dans cette prime analyze the maras.
Les différences de perception du risque lié aux maras et les politiques publiques correspondantes sont analysées en comparant deux pays, les Etats-Unis et le Honduras. Differences of perception du risque linked maras et aux correspondantes public policies are analyzed in comparant deux pays, les Etats-Unis et le Honduras. Si les Etats-Unis semblent se limiter à un traitement sécuritaire du phénomène, le Honduras a mieux pris conscience de la nécessité de faire de la prévention son axe de lutte privilégié. If semblent les Etats-Unis is limited to a safe traitement du phenomenon, it is better to Honduras pris conscience of the need to prevention faire of the ax are privileged to fight.
Amigos Ahi va otra traducción al español:
ReplyDeleteLas "Maras" Saltan en las portadas de los medios franceses
Las maras, un riesgo para la seguridad social y descontrolada
La palabra mara es más a menudo utilizado para el nombre de "pandillas juveniles en las zonas urbanas, como la palabra pandilla. Las dos maras más conocidas debido a su tamaño y la edad son la Mara 18 y MS-13. La Mara 18, en referencia a la 18th Street Los Angeles, fue originalmente compuesto de los mexicanos. Su rival, MS-13 o Mara Salvatrucha 13, se formó principalmente por los salvadoreños. Su nombre hace referencia a una especie de trucha y 13th Street en Los Ángeles.
Se ha veinte años que las maras han surgido. Estas bandas se formaron por el hijo de inmigrantes centroamericanos que huyeron de las guerras civiles y buscaron refugio en las ciudades en California. La explosión de las maras en América Central desde 1992. De hecho, a raíz de los disturbios en Los Ángeles, se pusieron en marcha estrictas leyes de la prisión y la expulsión de los mareros. Por lo tanto, a partir de 2000 a 2004, 20 000 delincuentes se desvían de los EE.UU. a América Central. En este caso, su integración se lleva a cabo dentro de su afiliación de pandillas. Es difícil estimar el número de mareros de hoy, las cifras varían en función de los intereses de las partes interesadas. Se calcula en casi 100.000, los tres principales países afectados son Honduras, El Salvador y Guatemala.
La violencia es el cemento de las maras. Cometer un asesinato, sexual o de sufrir pruebas físicas son las condiciones de ajuste. Sus acciones no están destinadas a enviar un mensaje político. Mayormente, estos son crímenes entre pandillas en busca de pruebas de mara dominante. Las maras están diversificando cada vez más violentas y control de los vecindarios (15 municipios se ven afectados en El Salvador), el robo, la venta de drogas y de armas, el contrabando de personas indocumentadas. Las maras son un fenómeno que sigue siendo por el momento urbana. Muy organizado, que operan en las células (clics) con un mando centralizado, lo que las distingue de las pandillas juveniles convencional, cuyo alcance no excede de la geografía de un barrio. Además, a diferencia de las pandillas, las maras son por lo general completamente aislado de la sociedad, incluido el mundo del trabajo y de sus familias.
El promedio de edad para un marero es de 19 años y para los jefes de 30 a 40 años. La entrada en el grupo parece estar entre el 9 y 12 años. Una de las características de las maras es llevar tatuajes en todo el cuerpo como un signo de pertenencia y valor. En los últimos años, las maras han evolucionado para hacer frente a las políticas represivas llama mano dura. Por ejemplo, los miembros tienen a menudo menos visibles tatuajes y los recién llegados para contratar a más jóvenes, otros mayores, a veces han recibido una secundaria o universitaria, las niñas también son reclutadas. El fenómeno ha tomado tal medida en que los gobiernos de que se trate ahora de políticas coordinadas, a menudo más represivas que preventivas, para tratar con él.
En una publicación publicada en el Diario Interdiscipinaire Obras en las Américas, los autores han propuesto para explicar cómo el fenómeno es aprehendido por las maras jugadores utilizando el concepto de riesgo. El fenómeno de las maras se inscribe en la categoría de zonas urbanas y los riesgos sociales. El riesgo social es difícil de definir, ya que puede asumir un riesgo que se derivan de un fenómeno social, sino también un riesgo que ponen en peligro la sociedad, que puede referirse a la vez causa y consecuencia del fenómeno objeto de estudio. Las maras son el producto de un pre-existentes de inseguridad? ¿O es que crean inseguridad? Esta dicotomía es primordial en el análisis de las maras.
Las diferencias en la percepción del riesgo de las maras y las políticas públicas, se analizan mediante la comparación de dos países, los Estados Unidos y Honduras. Si los Estados Unidos parecen estar confinados a un tratamiento seguro del fenómeno, Honduras tiene más conciencia de la necesidad de impedir que su eje de lucha privilegiado.
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Las maras, un riesgo para la seguridad social y descontrolada
La palabra mara es más a menudo utilizado para el nombre de "pandillas juveniles en las zonas urbanas, como la palabra pandilla. Las dos maras más conocidas debido a su tamaño y la edad son la Mara 18 y MS-13. La Mara 18, en referencia a la 18th Street Los Angeles, fue originalmente compuesto de los mexicanos. Su rival, MS-13 o Mara Salvatrucha 13, se formó principalmente por los salvadoreños. Su nombre hace referencia a una especie de trucha y 13th Street en Los Ángeles.
Se ha veinte años que las maras han surgido. Estas bandas se formaron por el hijo de inmigrantes centroamericanos que huyeron de las guerras civiles y buscaron refugio en las ciudades en California. La explosión de las maras en América Central desde 1992. De hecho, a raíz de los disturbios en Los Ángeles, se pusieron en marcha estrictas leyes de la prisión y la expulsión de los mareros. Por lo tanto, a partir de 2000 a 2004, 20 000 delincuentes se desvían de los EE.UU. a América Central. En este caso, su integración se lleva a cabo dentro de su afiliación de pandillas. Es difícil estimar el número de mareros de hoy, las cifras varían en función de los intereses de las partes interesadas. Se calcula en casi 100.000, los tres principales países afectados son Honduras, El Salvador y Guatemala.
La violencia es el cemento de las maras. Cometer un asesinato, sexual o de sufrir pruebas físicas son las condiciones de ajuste. Sus acciones no están destinadas a enviar un mensaje político. Mayormente, estos son crímenes entre pandillas en busca de pruebas de mara dominante. Las maras están diversificando cada vez más violentas y control de los vecindarios (15 municipios se ven afectados en El Salvador), el robo, la venta de drogas y de armas, el contrabando de personas indocumentadas. Las maras son un fenómeno que sigue siendo por el momento urbana. Muy organizado, que operan en las células (clics) con un mando centralizado, lo que las distingue de las pandillas juveniles convencional, cuyo alcance no excede de la geografía de un barrio. Además, a diferencia de las pandillas, las maras son por lo general completamente aislado de la sociedad, incluido el mundo del trabajo y de sus familias.
El promedio de edad para un marero es de 19 años y para los jefes de 30 a 40 años. La entrada en el grupo parece estar entre el 9 y 12 años. Una de las características de las maras es llevar tatuajes en todo el cuerpo como un signo de pertenencia y valor. En los últimos años, las maras han evolucionado para hacer frente a las políticas represivas llama mano dura. Por ejemplo, los miembros tienen a menudo menos visibles tatuajes y los recién llegados para contratar a más jóvenes, otros mayores, a veces han recibido una secundaria o universitaria, las niñas también son reclutadas. El fenómeno ha tomado tal medida en que los gobiernos de que se trate ahora de políticas coordinadas, a menudo más represivas que preventivas, para tratar con él.
En una publicación publicada en el Diario Interdiscipinaire Obras en las Américas, los autores han propuesto para explicar cómo el fenómeno es aprehendido por las maras jugadores utilizando el concepto de riesgo. El fenómeno de las maras se inscribe en la categoría de zonas urbanas y los riesgos sociales. El riesgo social es difícil de definir, ya que puede asumir un riesgo que se derivan de un fenómeno social, sino también un riesgo que ponen en peligro la sociedad, que puede referirse a la vez causa y consecuencia del fenómeno objeto de estudio. Las maras son el producto de un pre-existentes de inseguridad? ¿O es que crean inseguridad? Esta dicotomía es primordial en el análisis de las maras.
Las diferencias en la percepción del riesgo de las maras y las políticas públicas, se analizan mediante la comparación de dos países, los Estados Unidos y Honduras. Si los Estados Unidos parecen estar confinados a un tratamiento seguro del fenómeno, Honduras tiene más conciencia de la necesidad de impedir que su eje de lucha privilegiado.
La intencion de Francia es la de manchar la imagen de El Salvador recuerden compatriotas que D'abuisson era descendiente frances y era por logica ciudadano frances! recuerden tambien que en francia gobierna la derecha represora de inmigrantes se ve desde un satelite que las intenciones son la de manchar desde ya el proximo gobierno que sera de izquierda y por logica descargar en el frente la responsabilidad segun los franceses nosotr@ somos tontos!no caigamos en la trampa porque los periodicos franceses no caen tan bajo para sacar un articulo asi de poca importancia para ellos. ya me imagino le figaro sacando un articulo semejante seria la fin del periodico! pamplinas
ReplyDeleteAmigo Angel,
ReplyDeleteSu respuesta en bien imaginativa, creo que Ud. esta tocado de la cabeza, esa toria de D'abuisson es disparate.
disparate!se ve mi amigo y companero de milicia que usted la politica internacional y los enlaces de los politicos de derecha no los entiende mire mi querido paisano deberia de leer un poquito de la historia ò al menos de darse cuenta que El pais ha sido siempre gobernado por personajes que no son salvadorenos! yo no lo quiero ofender mi amigo y no se en que parte del mundo usted se encuentra sabe una cosa? berlusconi un gobernante de europa italia especificamente llevara a juicio a la CEL porque no le permitieron tener mas del porcentaje de la compania asi que en represalia este senor berlusca ha desidido llevar a juicio a los de la cel y quiere un poco de millones y quien los va a pagar? el proximo gobierno que sera de izquierda por no decirle nosotros a los cuales la deuda que ha dejado arena recaera en nuestros bolsillos no es una teoria o teorema esta todo friamente calculado mi amigo! lo saludo y muestreme su pecho no se me esconda bajo un anonimo! y si no escribame a: sambalambadajazz@gmail.com
ReplyDeleteotra cosa con respecto a los mareros y pandillas! un salvadoreno de la montreal al norte de mejicanos habria descrito mejor el articulo frances porque se vive en la piel el terror de los pandilleros un estudio social lo podia escribir una viejecita de san martin mas vivido y veraz que le interesa a Francia semejante cosa para mi que lo ha escrito como su tesis ultima un neoperidista frances!
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